Ça fait que je sais ce que je veux mais pas ce que j'aimerais.
Je me lance dans l'envoi de cv et j'écris de magnifiques lettres de présentation.
J'évite d'utiliser les phrases toutes faites qui de toute façon ne me définissent pas pentoute.
Je sais pas dans quel cadre je fitte, manifestement je ne l'ai pas trouvé.
Désabusée, désillusionnée. Encore une fois la marche dans le désert.
Mais comme Marie-Carmen, been there, done that.
Ça fait que j'attache ma tuque, je bois du champagne et j'attends que ça se passe.
Ah pis je favorise encore le destin. You know, les pensées positives qui sont supposées tout renverser. Ajouter mon visage perplexe avec mon célèbre roulement d'yeux. (Je sais, il faut que j'arrête de faire ça mais c'est comme plus fort que moi...)
En dernier recours, comme d'hab, je me retranche dans les endroits qui me font ni chaud, ni froid.
Et étonnamment, j'y trouve parfois un certain réconfort. Le dernier conseil, m'en remettre au plus grand.
Je suis pas SI mystique que ça mais celle-là, je la trouve drôle.
Lui c'est Gérard Raymond aka le Serviteur de Dieu, mort en 1932, à l'âge de 19 ans. (Un genre de saint de chez-nous) En cours de béatification à Rome. Semblerait que je pourrais m'en remettre à lui, à la foi et ma bonne énergie (fort contagieuse de c'temps là) et que ma vie en général serait favorisée dans le bon sens. Il agirait comme un porte-bonheur. Yihooooo
Devinez qui c'est qui me sert de fond d'écran sur tous mes appareils...
Je t'aime Gérard.
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