vendredi 7 janvier 2011

Parce que tu ne le liras pas

Parce que tu ne le liras pas et que c'est tant mieux comme ça...

Tu sais, en juillet ça aurait fait 8 ans. On se sera tout de même rendu au chiffre 7. On dit toujours qu'il est chanceux ce 7. Dans notre cas, c'est plutôt le contraire. En fait on dit souvent qu'après 7 ans ça passe ou ça casse. Dans notre cas, ça a pété en milles morceaux. Tu sais j'en ai eu jusqu'à novembre dernier à ramasser toute la casse.

Tu te te rappelles ce que je t'ai dit à Versailles, je le crois encore. Tu sais si tu n'y croyais pas il fallait le dire... bien avant. Le jonc que tu m'as donné je l'ai relayé aux oubliettes. Ça m'a pris du temps mais j'ai réussi à l'oublier dans un coin sombre. ( Je dois ici remercier le Barcelonais)

Il n'y a plus personne qui se cache dans les allées d'épicerie en attendant mon passage, plus personne ne met ses mains dans mes poches de jeans lors des ballades, les regards et les mots doux me manquent mais toi, non. Tu sais, tu m'as fait une faveur.

Je ne m'ennuie pas, je ne m'ennuie plus. Tu ne me manques pas, tu ne me manques plus. Merci... enfin

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